
1. Quelles sont les conséquences d'une bonne ou mauvaise compétence par surface? Est-ce un bonus/malus général aux autres skills?
2. Est-ce que les joueurs sont stressés aussi en fonction des évènements, des types de tournois joués par exemple? Par exemple, mon joueur n'a pas une compétence Sang-froid énorme (55% environ). D'habitude, en match, je vois sa barre de stress monter à un quart ou un tiers sur les balles de set, les balles de break, ce genre de point tendu. Mais à 18 ans, pour sa première sélection en Coupe Davis (pardon, Coupe Emerson

3. La compétence tactique influe-t-elle sur la capacité du joueur à appliquer les tactiques qu'on lui demande? J'ai remarqué que mon joueur ne vise pas vraiment davantage sur le revers de l'adversaire quand je lui mets -50 ou -60% dans le menu tactique en match par exemple. Avec un chiffre pareil, il devrait jouer beaucoup plus le revers de l'adversaire, mais au final quand je regarde les stats des frappes cela ne se ressent pas, je ne sens pas réellement de modification à partir du moment où je change la tactique (ou alors faible, donc je ne suis pas sûr que la tactique ait eu un impact). J'ai même eu des matchs où je demandais au joueur de viser largement plus le revers, et au final, l'adversaire avait quand même frappé davantage de coups droits. Je comprends que les circonstances du match font que le joueur ne va pas systématiquement jouer le revers, il s'adapte aussi à la situation. Mais se pourrait-il qu'il y ait un rapport avec la compétence mentale "tactique"? Sinon, je ne sais pas, peut-être qu'il faut mettre un chiffre encore plus gros quand on veut vraiment pilonner le revers adverse?
Voilà, encore bravo pour ce jeu! J'en suis à ma 4e saison, j'ai commencé au niveau de difficulté normal, j'ai augmenté à la fin de chaque saison pour finir en incroyable désormais, et je cravache pour sortir mon joueur de la zone 60-90 du classement. Entre les mauvais jours, le stress, et les adversaires aux compétences parfois surprenantes (je me suis souvent retrouvé à affronter des 100-150e mondiaux avec une puissance de 80-90 en coup droit et revers, quand ça passe ça fait mal), la nécessité de jongler entre périodes d'entraînement pour progresser et tournois où il ne faut pas se manquer et aussi avoir de la chance au tirage au sort, c'est tout un défi de se frayer un chemin! Et je trouve vraiment génial le fait d'avoir le vrai circuit pro. Je suis toujours estomaqué de voir que tu es le seul à ma connaissance à avoir fait ça, c'est un vrai plus pour l'immersion.